更新时间:02-27 上传会员:刘教授
分类:法语论文题目 论文字数:4220 需要金币:1000个
Résumé : Depuis le milieu du 13e siècle,Café a commencé sa fonction historique. A la fin du 16ème siècle, café est considérablement introduit aux plusieurs pays européens de l'Italie, l'Europe a commencé l'ère du café, le café devient un art en Europe. En Europe, le café a été donné un style spécial de littéraire. Café est devenu un l'endroit d' assemblée des écrivains, des poètes, des artistes, etc. On lui a donné une signification littéraire, et celle-ci est progressivement accepté par de plus en plus de personnes du monde entier. Ce mémoire analysera systématiquement la relation entre le café et la littérature en trois parties : la cause du café, l’histoire littéraire du café et le café restaurant.
Mot-clé : café, littérature, Europe.
摘要:自13世纪中叶咖啡起源. 16世纪末,咖啡由意大利大批传入欧洲,欧洲开始了咖啡的时代,欧洲使咖啡变得文艺。在欧洲,咖啡被赋予了别样的文学色彩。咖啡馆逐渐成为文学家,诗人,艺术家聚集的地方。咖啡与它的文学色彩,逐渐被越来越多的人关注,为全球的人们所瞩目。本文旨在从咖啡本身、咖啡的文学历史、咖啡馆三个方面系统的研究咖啡与文学的关系。
关键词:咖啡馆、文学、欧洲
Introduction
Si je ne suis pas chez moi, je suis au café, si je ne suis pas au café, je suis en chemin de café.
Café a fait une grande influence sur notre vie. On boit bien et souvent beaucoup dans les auberges de la littérature. Des vins, des eaux-de-vie, des liqueurs et autres élixirs et décoctions... Bonnes bouteilles et bons livres font cause commune de la cave à la table et les premières ont accompagné l'histoire des vers et de la prose. Le café, noir désir, est de cette aventure. Parmi les auteurs qui ont approché la magie du café, on trouve quelques grands auteurs, comme en témoigne un livre passionnant, écrit par Anne-Marie Royer-Pantin, «Dégustations fabuleuses, dans la cave des écrivains», paru en 2003 aux éditions de La Table Ronde. On y croise par exemple, Charles Monselet, poète gourmand et touche-à-tout du XIXe siècle. Il écrivit de manière charmante sur le café qui, pour lui, donnait bien de l'esprit : Dans la tasse de vieux-sèvres Versez la tasse de moka brûlant, Parfum qui ravit les lèvres. Au café, quand tu m'enfièvres Je vois un monde affolant. Le poète Théodore de Banville (1823-1891) surenchérissait :